ici : Tout connaître

Plus d’infos à propos de ici

En réalité, nous devons le réseau social moderne à plusieurs petites innovations qui sont intervenues en cours de route et qui ont commencé au centre des années 1990. Certes, Myspace et Facebook ont beaucoup fait pour définir le réseau social moderne. Le réseau social d’aujourd’hui et le rapport que nous entretenons avec est le résultat d’améliorations dues à une concurrence de plus en plus féroce entre ces « nouveaux » du numérique. Les recentes années ont été marquées par un certain nombre de scandales impactant négativement les social medias : violation de la vie privée, exploitation des données à des vues, effet sur la santé mentale des personnes. Oui, vous avez bien entendu, « santé mentale ». En même temps, lorsque vous discutez sur Messenger avec un ami, la mention « Vu » renseignant que vous avez vu et lu le message n’est-elle pas la chose la plus irritante et intrusive qui soit ? Je suis sûr qu’un de vos amis vous a déjà sorti : « Et mais pourquoi tu ne réponds pas sur Messenger ? C’est marqué que tu as vu mon message ! ». Rien de tel pour se sentir « prisonnier » du réseau social. L’avenir des réseaux sociaux se doit d’être motivé par des innovations qui nous aident à combattre les atteintes à la personne et les mauvaises habitudes. Réduire les abus, les fakes news, le spam.

la présence de ces nouveaux « influenceurs » dans la taille public s’explique simplement par la popularité des diffusions de téléréalité et par l’intérêt qu’ont monsieur et madame Tout-le-monde à continuer qu’il faut suivre les participants en dehors du petit écran, après leurs aventures. Ayant centralisé l’intérêt de dizaines et souvent de dizaines de dizaines de milliers de personnes sur leur profil en ligne, ces « toutes nouvelles vedettes » peuvent ensuite utiliser leurs plateformes de social medias pour entrer en jeu avec une vaste communauté. Au-delà de l’interaction organique, l’influenceur peut choisir de monétiser son nouveau pouvoir, soit son influence, auprès du public qui le suit en acceptant des collaborations rémunérées pour concevoir du contenu ou passer certains messages publicitaires. il y a évidemment plusieurs types d’influenceurs, dont la pertinence varie grandement selon de nombreux critères : leur métier d’origine, l’originalité dans la création de leur contenu, le ton et le rythme utilisés, la fréquence des publications, les catégories de conversation entretenue avec la communauté, la sélection des collaborations selon les intérêts, les valeurs et l’expertise de l’influenceur et de sa communauté, etc. Après les déboires de certains, c’est l’occasion de se questionner. Comment bien choisir ce qu’on consomme ? Pourquoi encourager certains contenus ? Et surtout de sélectionner : à qui souhaitons-nous donner la parole sur nos plateformes sociales ? Qu’on les préfère ou non, les réseaux sociaux sont là pour de bon et le concept de l’influence aussi, alors participons-y positivement et activement pour en faire un lieu enrichissant, vraiment prenant et bienveillant pour tous.

En pleine campagne présidentielle aux USA, il part à la « découverte des le public » en selon un groupe de 600 électeurs du comté d’Erié dans l’Ohio. Durant cette enquête, il prouve que le vote n’est pas seulement un choix individuel mais qu’il existe des variables liées au… réseau social de l’individu. On découvre que les réseaux amicaux et les milieux familiaux sont globalement homogènes dans leurs choix politiques. Pour la première fois sont évoqués les opinion précurseurs dans une théorie de l’influence interpersonnelle. Leurs particularités seraient une forte sensibilisation aux médias et une capacité de reformulation des missions vues dans les échanges quotidiens. Ils ont donc d’intermédiaire, de facilitateur, de relais. Un pas est dès lors franchi dans l’étude des réseaux : la communication n’est pas unidirectionnelle et directe vers un récepteur passif, elle est à deux étages et se déroule en deux temps, à travers des relais d’information ( the two-step flow of communication ). Puis dans Personal Influence mis en ligne en 1955, il en ressortira que les relations interpersonnelles sont supérieures aux médias dans les actes de décision. En somme, les théories de la seringue hypodermique et de réseaux ultra-puissants deviennent obsolètes. Les effets des réseaux sont indirects et limités par les possibilités de mesure des personnes et leur réseau social.

il y a peu d’estimations fiables de la dimension de des influenceurs. L’une d’entre elles, réalisée en 2020 par le Bureau national des statistiques de Chine, où les influenceurs ont acquis une certaine notoriété plus vite qu’en Occident, estimait sa contribution à l’économie à 210 000 000 000 de dollars, soit 1, 4 % du PIB. Comme pour tout ce qui touche au numérique, la pandémie s’avère lui avoir donné un coup de fouet, puisque surtout de personnes étaient rivées à leur smartphone pendant une plus grande partie le timing. L’écosystème des influenceurs remet en question les concepts traditionnels de la gestion des marques haut de gamme. En plus d’être unidirectionnelles, les campagnes ont eu tendance à être standardisées, immuables et coûteuses. Un groupe exclusif d’actrices blanches dotées de pommettes de la bonne forme était censé la constance, ainsi que l’opulence. Le même rire sur la même photo de la même vedette hollywoodienne devait inciter les piétons à acheter un article pendant de nombreuses années. Julia Roberts et Natalie Portman sont chacunes depuis une décennie les visages des parfums La Vie est Belle de Lancôme et Miss Dior. Les stars comme les marques ne disent pas combien d’argent change de mains, mais les sommes se chiffrent en millions de dollars. Selon un rapport, le montant dépensé par LVMH pour la totalité de la campagne Miss Dior s’élève à “moins de 100 centaines de milliers de dollars” l’année dernière.

Un réseau social c’est un système de communication qui permet par l’intermédiaire du net, de démultiplier ses client potentiel de manière sélective, d’entrer en relation avec des personnes qui vous seraient inconnues ou inaccessibles sans cette plateforme relationnelle, d’échanger des idées, des points de vue, des informations, à travers les « hubs » ( forum de discussions ), de se faire connaître et repérer, de trouver des opportunités notamment d’emploi ou d’affaires… Ils aident à renouer des client potentiel, bénéfiques professionnellement, avec d’anciennes relations ( d’études, de stages, de milieux professionnels, d’amis ) mais aussi d’enrichir son carnet d’adresses. Ce réseau vous permet d’accéder aux 75 % des offres du « marché caché » de l’emploi et d’accéder à des informations que vous n’auriez pas pu avoir ou à des personnes que vous n’auriez pas pu contacter sans ce logiciel. Ils peuvent aussi être utilisé pour se renseigner sur un métier, une entreprise, son futur hiérarchique afin de bien préparer son entretien professionnel. D’ailleurs l’exercice du réseautage est une véritable pratique d’intelligence économique qu’utilisent de plus en plus les recruteurs et « chasseurs de tête » mais aussi directement les services recrutement des sociétés. il faut être clair et complet sur sa page perso et sur ses objectifs et les tenir à jour pour que son réseau soit efficace, il faut l’animer et échanger pour le faire vivre, donner des infos efficaces, vrais, importantes pour en recevoir d’identiques, faire le choix de la qualité des client potentiel plutôt que de le nombre ( consommatrice de temps elle peut nuire « gravement » à l’efficacité ), sur un réseau professionnel ne pas oublier d’être professionnel, faire de la virtualité des partenariats pour entrer dans la réalité des rencontres y compris en utilisant le téléphone ( mobile bien entendu ), ne pas vouloir être présent sur tous les sites mais targetter selon ses objectifs, et pour terminer, ne pas oublier le bon vieux principe de politesse ( remercier, stimuler, féliciter… ) …

1. sept milliard de personnes emploient au moins un réseau social dans le monde, dont 31 centaines de milliers en France. Pour les entreprises, les réseaux sociaux sont une formidable occasion pour se rendre visible du bout de la jusqu’au bout du monde. Ils aident à gagner de nouveaux clients, de fidéliser, de communiquer autrement avec sa communauté ou tout simplement de récolter des données. Bien utilisé, le retour sur investissement d’un réseau social est exponentiel ; d’autant que leurs campagnes publicitaires ne coûtent pas toujours assez cher. Mal employés, par contre, l’effet peut être quasi nul, voire négatif ou vraiment en cas de bad buzz, ruinant la réputation de toutes entreprises en moins de 10 secondes. En bref, les réseaux sociaux servent plus à raconter son entreprise qu’à vendre en direct ; à traduire ses valeurs, sa vision… Le story telling, le suspense, l’effet teaser…Ces modes de communication aident à créer une communauté de prospects adeptes de vos valeurs, de déterminer les ambassadeurs les plus aptes à les donner, mais aussi à communiquer autrement avec votre clientèle, non pas en format informatif et descendant, mais en format communautaire, basé sur l’échange et la prise en compte instantanée des suggestions et critiques pour pouvoir améliorer votre offre. Les social medias servent à ça, car ils sont construits en ce sens ; sur un exemplaire de communication communautaire.

Source à propos de ici